Lunité symbolique autour de Quetzalcoatl, formé par les aiguilles sculptées en or massif prend des atours presque mystiques et anime le cœur du cadran qui ne cesse d’évoluer au fil du temps qui passe. Car l’heure se lit à l’extrémité de la tête du serpent tandis que sa queue indique les minutes. Quetzalcoatl se love ainsi, au centre de la pièce, au gré du Conseilsde lecture – actualité du livre Connexion search. menu. home; Découvrir L'actualité des livres et des auteurs Au gré du temps, au fil des gens. Au gré du temps, au fil des gens . Fiche; 0 note . Monique Zomer. Date de parution : Reala l'intention de ré unir au fil du temps les cultures de ressources. [] humaines des deux groupes, en maintenant les meilleures pratiques des deux sociétés. realdolmen.be. realdolmen.be. I t is the inte ntion of Real to, over time, gradua lly bri ng. jaime réaliser, au gré de mes envies et du moment, un peu de tricot, de crochet, ou de broderie. Je vous invite à vous promener avec moi, comme ça, juste pour le plaisir. Leblog de monsetta "au gré des jours, au fil du temps" Le corps Publié par Monsetta Mardi, 20 Mai 2014 . Depuis plusieurs années j'assiste à un certain nombre de Aufil des jours, au fil des pensées Fioufiou. Centerblog. Articles ; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. A propos de ce blog. Nom du blog : fioufiou Description du blog : Des mots au gré du vent Au fil des jours, au fil des pensées Catégorie : Blog Journal intime Date de création : . L'écriture pour tracer un chemin vers soi, vers les autres, à la rencontre de plus grand que soi. Les mots comme des pierres qui affleurent dans l'eau... Lire la suite 18,00 € Neuf Définitivement indisponible L'écriture pour tracer un chemin vers soi, vers les autres, à la rencontre de plus grand que soi. Les mots comme des pierres qui affleurent dans l'eau du torrent pour permettre le passage. Ceux de tous les jours, qui s'usent au tranchant du quotidien, s'accrochent au fil du temps, s'élèvent pour donner sens. Et vie. Ceux qui nous traversent, nous bousculent, nous provoquent. Ceux qui, mains apaisantes, caressent nos blessures. Ceux qui germent dans le silence. Ceux qui cheminent à l'ouvert, en plein vent. Ceux qui se risquent entre deux êtres. Tous ces mots se sont donné rendez-vous dans ces pages. Les lecteurs de l'Echo Magazine qui les ont goûtés au rythme de la rubrique "En marge" les reconnaîtront et y trouveront, nous l'espérons, saveur nouvelle. Ceux qui les découvriront, puissent-ils y puiser force et tendresse. Et y discerner un chemin de croissance. Ecrits au gré des événements, ces textes rassemblés dessinent un vitrail aux mille couleurs. Assez transparent pour laisser passer une lumière qui vient de plus loin qu'eux et conduit à l'essentiel. Pour ouvrir, au secret du coeur, des chemins d'espérance et faire du jour qui vient le lieu d'heureuses rencontres. Pour mettre en marche. Le chemin réserve de si belles surprises ! Date de parution 20/03/2014 Editeur ISBN 978-2-88926-086-7 EAN 9782889260867 Présentation Broché Nb. de pages 122 pages Poids Kg Dimensions 14,2 cm × 21,0 cm × 1,1 cm Biographie de Geneviève de Simone-Cornet Geneviève de Simone-Cornet est journaliste à l'hebdomadaire familial chrétien Echo Magazine à Genève. Après un stage à l'Agence de presse internationale catholique Apic à Fribourg elle travaille comme attachée de presse du diocèse de Sion, puis à la rédaction de la revue missionnaire Bethléem, de la Mission Bethléem Immensee, dont elle assume la responsabilité pour la partie francophone. Elle est engagée en paroisse et membre de l'équipe d'animation des fraternités marianistes de Suisse. Maya de Salle, anthropologue, a une subtilité de conteuse pour restituer l’histoire du port. Pendant une heure et demie, à bord d’un catamaran, elle convie les amoureux de l’histoire à replonger, pour les 25 ans d’existence du Labourdonnais Waterfront Hotel, dans la mémoire d’un passé lointain, mais connecté au présent. Balade au fil de l’histoire du port. - Publicité - Alors qu’on voguait, la balade se voulait berceuse et a permis à trois femmes, Nadia Chorfi, Nadine Boiron et Raphaële Noël, des parfaites inconnues au départ, de découvrir qu’il y avait un lien d’enfance les connectant à leurs parents. Entre elles, l’alchimie des retrouvailles s’est opérée face à un arrêt sur image devant le ballet des grues avec toutes les lumières étincelantes sur tout l’ensemble de l’équipage. Une heure et demie de balade en mer avec pour toile de fond le coucher du soleil qui apaise et la brise sur le visage et dans les cheveux. Maya de Salle, fondatrice de My Moris, convie les amoureux de l’histoire à une exploration du port où, en trois siècles, tout a changé. La balade est inédite et offre une véritable immersion au cœur de ce port imaginé par Mahé de La Bourdonnais au début du 18e siècle. Maya déploie une carte datant de 1735, dessinée et signée par Mahé de La Bourdonnais, et qui montre bien l’ossature de la première structure de ce port d’escale et de ravitaillement pour les navires sur la route des Indes. Comme un poète qui décrit ses émotions, avec sa voix douce, Maya dessine les contours de chaque escale, faisant chaque passager se mettre dans la peau des habitants de l’époque. De ce port dont sont fiers les Port-Louisiens. Il faut imaginer quand La Bourdonnais arrive ici, il n’y a que du bois, un grand marécage au niveau du jardin de la Compagnie. Dans l’île, il y a à peu près 800 habitants. Et, sur Port-Louis, 500 mètres carrés de bâtisses. Mahé de La Bourdonnais va faire tripler le chiffre des habitants en moins de cinq ans en faisant venir des colons, des esclaves, des artisans. On verra alors poindre les premières structures qu’il va construire », dira-t-elle. Le catamaran longe Trou-Fanfaron et ses bateaux de pêche, la Place d’Armes… Le guide explique que tout au long de cette Place d’Armes, il y avait une fortification. Une sorte de loge qui abritait tous les bâtiments administratifs de la compagnie des Indes, du bureau de l’Intendance, l’hôtel du gouvernement. Maya poursuit ses explications. Elle évoque l’hôpital Labourdonnais, rénové aujourd’hui pour y abriter le musée de l’Esclavage. Alors qu’à l’arrière du grenier, on pouvait y discerner une petite structure, le moulin, qui servait à moudre le grain pour ravitailler les navires et les habitants de la colonie. Jean Dominique de Caudan, le saunier qui a vu grand La brise porte la voix de Maya comme une agréable berceuse, elle sait faire valser ses mots au gré des clapotis des vagues. Encouragée par les passagers, Maya fera mention de ce petit îlot, appelé Le Caudan, qui était à l’emplacement de l’hôtel Labourdonnais où la mer se projetait plus vers l’arrière, du côté de Port-Louis au 18e siècle, et du côté du port. Nadine Boiron, une passagère à bord, demande la provenance du mot Caudan. Christophe Noël, un autre passager, lui donnera la réplique Inauguré le 25 novembre 1996, le Caudan Waterfront, plus connu comme Caudan, fut le premier et donc le plus vieux centre commercial de Maurice. Situé dans la capitale de Port-Louis, il tient son nom de l’explorateur français, Jean Dominique de Caudan, venu à l’ancienne Isle de France de son Languedoc. Saunier de métier, il créa une saline près d’une anse au Sud-Ouest de Port-Louis, en 1726. Cet espace est connu actuellement comme le jardin Robert Edward Hart, situé sur la route d’entrée au Caudan Waterfront. » Nadine Boiron lancera Merci monsieur de m’avoir éclairé les lanternes ! » Et ce dernier de répliquer Merci à Google. » Joyeux aparté. À bord, on ressent la convivialité et la joie de vivre qui émane de tout un chacun, et cet échange d’idées qui aboutira à d’heureuses retrouvailles. Nadine Boiron et la mère de Raphaële Noël – soit l’épouse de Christophe Noël, celui qui vient d’expliquer le nom du Caudan, – étaient des amies d’enfance. Nadine raconte avoir vécu à Madagascar, et aujourd’hui elle habite Maurice avec son époux. Elle ne revient pas de ce moment Il a fallu une balade dans le port pour me reconnecter à mes racines d’enfance. » Elle n’était pas au bout de ses surprises, car une autre passagère au même prénom, Nadine Chorfi, marocaine d’origine, a de la famille qui fait aussi partie du cercle d’enfance de Nadine Boiron. On ne se rend pas compte combien Maurice est un vrai brassage culturel. » Entre des éclats de rires, des retrouvailles scellées par un selfie, la balade reprend avec plus d’entrain. Maya reprend ses explications On n’a plus de trace de cette fortification de la loge. Donc, rapidement, ce port va devenir un lieu important pour la colonie et un port central de l’océan Indien qui va attirer des commerçants du 19ème siècle. » Réminiscences du passé Au gré des vagues, la balade se poursuit, conviant tout un chacun à des réminiscences du passé. On s’imprègne de ce port où se reflète l’histoire du peuplement de l’île et de cette diversité culturelle mauricienne. Le catamaran permet cette flânerie audacieuse sur un parcours où les bâtiments historiques côtoient les constructions plus récentes. Au passage de la rivière Lataniers, certains reprennent en chœur la berceuse Mo pase la rivier Tanier. Au point des Mascareignes, le déchargement de thons s’offre à ciel ouvert devant nos yeux ébahis. C’est ici que ces bateaux de pêche prennent des poissons pour les acheminer dans un plus gros navire de pêche qui viennent se décharger dans une cale réfrigérée. » Avec ses fortifications, Port-Louis sera connu pendant un certain temps comme Port Napoléon avant de retrouver son appellation. On revient sur les fortifications, et Maya relate sous l’occupation des Anglais, la redoute La Bourdonnais deviendra Fort George. Le Fort Blanc, Fort William. Entre les deux forts à l’entrée du port, il y avait une chaîne de 1 900 mètres que l’on tendait pour fermer le port en cas d’attaque. » On découvre la maison Blyth des années 1900, connu comme IBL aujourd’hui. Tout l’étage a été refait, mais on peut encore voir la fondation, en notant la différence entre les pierres anciennes et récentes et l’arrière des pierres de couleur plus foncée qu’on peut apercevoir sur l’allée des parapluies du Caudan. Il y a aussi de vieilles portes sur lesquelles l’année 1856 est inscrite, date de la fondation du bâtiment. Un autre pan de l’histoire se dévoile alors qu’on se dirige vers un chenal, l’île aux Tonneliers et Les Salines, un emplacement de choix sur cette route des épices dont l’activité a décuplé avec la venue du sucre. Entre l’île aux Tonneliers et la côte, il y avait la chaussée construite par le gouverneur de Tromelin. On ne peut manquer la partie historique du moulin de 1736, des anciens entrepôts de sucre des United Docks, le récit de la grève des dockers menée dans les années 70. Le Bulk Sugar Terminal où le sucre était disposé en vrac. Dans les 1960, tous les dockers transportaient le sucre sur leur dos. Ils gravissaient péniblement des marches pour transporter des ballots de sucre de 80 kg dans des navires au large. Après la Seconde Guerre Mondiale et la mécanisation en Europe, ce sont les vracs qui ont été privilégiés. Le sucre mauricien devient trop cher, on est trop lent pour embarquer les navires, il y a donc une modernisation au niveau de l’embarquement. Et dans les années 80, on va mettre un grand bâtiment à disposition pour le vrac », fait ressortir Maya de Salle. Ménardeau et son street art en trompe-l’œil Maya parle de la douane maritime, des complexes datant de 1830, de l’histoire de ces matelots pêcheurs accostant dans le port. Il y a aussi le fameux grenier de 1930, avec sa façade de briques en rouge. C’est le premier bâtiment en béton armé de l’île, conçu dans les années 1930 et fabriqué avec de la terre rouge, issue de la région de Terre-Rouge. Au premier étage, dudit grenier, seront entreposés des ballots de riz, des grains, des denrées alimentaires importés et stockés de manière sécurisée avec un système anti-rats, car Maurice était connue pour être l’île aux rats à l’époque. » Maya poursuit son récit en évoquant la Seconde Guerre Mondiale. Maurice craignait alors une attaque des sous-marins japonais. Un peintre de la marine française, Maurice Ménardeau, va peindre une fresque en trompe-l’œil pour protéger les vivres stockés et pour que le bâtiment de stockage ne soit pas bombardé. Ménardeau est à l’origine du premier street art de Maurice. » Il y aura aussi cette vive émotion à fleur de peau au Quai C, où la souffrance des Chagossiens déportés de leur archipel a marqué bien des esprits. On est à l’Aapravasi Ghat, site patrimoine mondial de l’Unesco, soit le dépôt des immigrants qui accueillait tous les travailleurs engagés à l’abolition de l’esclavage. 60% des Mauriciens ont eu des ancêtres qui sont arrivés par ces 16 marches, très symboliques. Ces immigrants ont été enregistrés et envoyés dans des domaines sucriers. Soit un demi-million de travailleurs engagés en 70 ans », indique Maya. Si comme nous vous avez aussi l’envie de plonger dans cet univers poétique d’une balade dans le port, deux jours vous sont proposés, le mercredi et le samedi, de 17h30 à 19h. Les tarifs sont de Rs 1 000 enfants et Rs 1 500 adultes. Les réservations doivent être faites auprès du Labourdonnais Waterfront Hotel. Port-Louis est une ville en pleine effervescence où la mémoire du passé est toujours omniprésente et où se dessinent également les contours du futur. La traversée proposée fera date dans les mémoires de tous ceux qui ont eu la chance, lors des 25 ans d’existence du Labourdonnais Waterfront Hotel de s’octroyer ce privilège d’une balade au fil de l’histoire du port, contée par Maya de Salle. L’histoire s’en souviendra…l Au fil des époques… la Place du Marché de Courseulles-sur-Mer Les origines de la ville L’origine de la ville est très ancienne puisque dès le XIIe siècle, quelques feux au lieu-dit les fosses Saint-Ursin, actuellement le carrefour des routes de Beny/Reviers, formaient le berceau de notre cité. Sa dénomination a évolué au fil des siècles d’abord Cursella, Corceulle, puis Courseulla, et enfin Courseulles. Aujourd’hui, Courseulles-sur-Mer constitue une petite ville régionale de plus de 4200 habitants dont l’évolution s’est faite au gré du temps, des aléas économiques et grâce entre autre, à la présence du port. Situation géographique et population Courseulles est la seule fenêtre sur la mer du Canton de Creully auquel Courseulles appartenait autrefois et cette ouverture a été un des moteurs de son évolution démographique. Au début du XXe siècle au recensement de 1901, Courseulles comptait 1 315 habitants. Aujourd’hui, nous en comptons plus de 4 200 habitants et quintuple sa fréquentation en période estivale. Cette croissance constante depuis 1936, trouve en partie son explication dans une profonde évolution des mentalités, dans l’arrivée du temps de loisirs avec les congés payés et le développement des loisirs liés à la mer. La situation géographique à l’embouchure de la Seulles impliquait tout naturellement une vocation maritime. Les pôles économiques La construction navale Les chantiers navals formaient l’ossature de l’évolution économique de Courseulles, et des noms ont marqué ce secteur économique, comme celui de la famille Labrèque, dont le chantier vécut près d’un siècle de 1875 à 1964. A cette époque, les coques plastiques supplantaient le bois et la plaisance faisait son apparition, remplaçant petit à petit le commerce maritime. L’ostréiculture Courseulles fut depuis les Romains un centre d’élevage d’huîtres, et encore aujourd’hui, les pêcheurs de la ville continuent à commercialiser et élever des huîtres. Au siècle dernier, Courseulles fournissait Paris à l’aide de comètes », voitures à cheval, qui mettaient 3 jours à faire le parcours jusqu’à la capitale. La dentelle polychrome Cette dentelle faite de fils d’or et d’argent est née dans la manufacture créée par la famille Violard/Robert en 1822. Unique au monde, elle faisait travailler quelques 1 200 dentellières sur Courseulles et ses environs. Cette dentelle tout à fait particulière a été primée plusieurs fois mais l’arrivée de la dentelle mécanique supplanta ce qui restera un trésor local. La sucrerie de Courseulles La sucrerie de Courseulles a ouvert ses portes en 1921, à côté du Château. La concurrence caennaise, arrivée en 1951, a provoqué la fermeture de la sucrerie en 1965. Ces activités ont créé une dynamique économique sur Courseulles et constituent notre patrimoine, que vous pouvez découvrir également au Musée de Courseulles. Architecture Un nouvel atlas des villes, "La vie"-"Le Monde", avec ses 200 cartes originales, qui raconte à sa manière toute l'histoire de l'humanité, depuis les premiers noyaux urbains jusqu'aux mégapoles contemporaines. Des esprits inquiets ou lucides nous annoncent qu'elle sera congestionnée, polluée, tentaculaire, proliférante, surveillée. A moins qu'elle ne se montre intelligente, participative, verticale, sensuelle, biodiverse et connectée ? Ici, on dit la ville muséifiée, boboïsée, embourgeoisée. Mais là, on la voit et on la vit déjà autrement - revisitée, réinventée, mondialisée. A quoi ressemblera donc la ville du futur ? Question décisive, car tout porte à croire que l'urbanité est l'avenir de l'homme puisque, dans un peu plus d'une génération, seulement un tiers de la population mondiale vivra encore en milieu rural. Déjà la vibration, la pulsation, l'énergie du monde sont essentiellement urbaines. Et demain ? DÉTOURS Pour comprendre le présent et tenter d'anticiper le futur afin de mieux en être acteurs, rien de tel qu'un voyage dans le passé. C'est le parti pris de cet atlas, reliant l'histoire à la géographie et la culture à la géopolitique. Reprenons donc le fil du temps. Des cités anciennes habitent notre imaginaire Babylone, Athènes, Rome... D'autres peuplent nos rêves ou nous invitent à de nouveaux voyages dans un passé qui n'en finit pas d'être actuel Kyoto, Venise, Tombouctou, Istanbul... C'est par de tels détours que l'on arrivera à Shanghaï, à New York et à Sao Paulo, à Dubaï et à Lagos. Ce nouvel atlas, avec ses 200 cartes originales, raconte donc à sa manière toute l'histoire de l'humanité, depuis les premiers noyaux urbains jusqu'aux mégapoles contemporaines. Les villes de France peuvent sembler muséales, figées dans des exigences patrimoniales. Pourtant notre pays n'échappe pas à ce grand mouvement planétaire, avec ses enjeux environnementaux, culturels et sociaux. Autour des déplacements multimodaux, de l'intercommunalité, de la mixité sociale, de la crise d'identité du périurbain, des questions complexes surgissent, de vieux clivages politiques s'affaiblissent, des choix éthiques se profilent. Des débats d'apparence technique, mais qui concernent en réalité notre vie quotidienne, sont ici rendus lisibles. Les meilleurs experts, les universitaires, les journalistes sont réunis et leurs points de vue croisés comme on échange paroles et regards au gré d'une promenade inspirée. Cet ouvrage, par son ambition et par sa dimension exceptionnelle, se présente comme une mégapole. Il faut accepter de s'y perdre pour apprendre à chaque coin de rue, souvent par des rencontres inattendues grands architectes, romanciers à succès, cinéastes, artistes, urbanistes... et même un moine. Bonne promenade en villes. L'Atlas des villes, 186 pages, 12 €, en kiosque le 17 octobre Didier Pourquery, Jean-Pierre Denis et "La Vie" Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Les doubles-croches ? Ces notes brèves, inattendues et sautillantes, que le hautbois lance au-dessus de la tenue de l'orchestre image de ces clins... Lire la suite 23,90 € Neuf Définitivement indisponible Les doubles-croches ? Ces notes brèves, inattendues et sautillantes, que le hautbois lance au-dessus de la tenue de l'orchestre image de ces clins d'oeil furtifs qui nous révèlent, si nous sommes attentifs, ainsi le " curieux " du tympan de Conques, une bonne part de la saveur des jours et du miracle des rencontres. L'auteur nous convie au récit de quelques-uns de ces fragments véridiques d'une histoire qui pourrait être celle de chacun nous v côtoyons subrepticement Andrei Sakharov, Yo Yo Ma, Georges Enesco, Nelson Mandela... mais aussi l'attachante couturière de la rue Saint-Séverin ou la belle inconnue d'Ekaterinbourg... Pages toniques où la légèreté du ton ne saurait dissimuler cette pensée que l'aventure de chacun se relie mystérieusement à celle de tous, comme le font les différentes voix entremêlées du concert. Et que de celui-ci, les notes brèves, à peine perçues et souvent trop vite oubliées, ne sont pas toujours les moins substantielles. Date de parution 08/10/2010 Editeur ISBN 978-2-7465-0494-3 EAN 9782746504943 Format Grand Format Présentation Broché Nb. de pages 274 pages Poids Kg Dimensions 13,5 cm × 20,0 cm × 2,0 cm Biographie de Yves Quéré Yves Quéré, physicien, a été professeur et directeur de l'enseignement à l'École polytechnique. Membre de l'Académie des sciences, il a été élu à la présidence de l'IAP InterAcademy Panel, Assemblée des Académies des sciences de par le monde. Il travaille actuellement, avec Georges Charpak et Pierre Léna, à la rénovation de l'enseignement des sciences à l'école et au collège.

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